A l'heure où la classe moyenne devient de plus en plus pauvre (cf la conférence de presse de Caritas parue dans la tribune de Genève du 02.09.08)
A l'heure où les besoins dans le domaine de l'insertion professionnelle, de la jeunesse, du social, de l'environnement, de la sécurité et du sport sont les plus criants
A l'heure encore où des investissements sont primordiaux pour l'équilibre de notre commune
A l'heure enfin où une nouvelle péréquation intercommunale devrait ramener un peu de solidarité entre les communes à haute capacité financière et celles qui souffrent chaque année pour boucler leur budget,
On apprend dans la tribune de Genève de ce jour que le MCG déposera un projet de loi de supprimer la taxe professionnelle des communes soit-disant pour arrêter de pénaliser les entreprises qui fournissent des emplois.
Aucune entreprise ne licencie des personnes pour payer la taxe professionnelle. Aucune d'entre elle ne s'empêche d'engager des nouveaux collaborateurs à cause de la taxe professionnelle. Bien (trop) souvent, seul le marché dicte l'emploi.
Ce qui est plus grave, c'est que cette proposition est très dangereuse pour les finances de la commune. Pour Vernier, la taxe professionnelle représente pas moins de 5.1 millions,; aujourd’hui affectés au ménage communal.
Que le MCG aille jusqu'au bout de la démarche : qu'il nous dise donc dans quels domaines les coupes devront s'opérer pour équilibrer le budget et comment le candidat MCG fera pour financer les engagements qu'il a pris.
Pour terminer, la taxe professionnelle est le seul impôt que gère la commune. Le reste des rentrées fiscales n'est qu'une estimation calculée tant bien que mal par le département cantonal des finances et sur lesquelles la commune n'a aucune gestion possible. Ceci n'est pas tolérable, mais c'est un autre débat.
Coupes dans les finances communales, le MCG fait mieux que l'UDC : 5 millions de moins !
A l'heure où la classe moyenne devient de plus en plus pauvre (cf la conférence de presse de Caritas parue dans la tribune de Genève du 02.09.08)
A l'heure où les besoins dans le domaine de l'insertion professionnelle, de la jeunesse, du social, de l'environnement, de la sécurité et du sport sont les plus criants
A l'heure encore où des investissements sont primordiaux pour l'équilibre de notre commune
A l'heure enfin où une nouvelle péréquation intercommunale devrait ramener un peu de solidarité entre les communes à haute capacité financière et celles qui souffrent chaque année pour boucler leur budget,
On apprend dans la tribune de Genève de ce jour que le MCG déposera un projet de loi de supprimer la taxe professionnelle des communes soit-disant pour arrêter de pénaliser les entreprises qui fournissent des emplois.
Aucune entreprise ne licencie des personnes pour payer la taxe professionnelle. Aucune d'entre elle ne s'empêche d'engager des nouveaux collaborateurs à cause de la taxe professionnelle. Bien (trop) souvent, seul le marché dicte l'emploi.
Ce qui est plus grave, c'est que cette proposition est très dangereuse pour les finances de la commune. Pour Vernier, la taxe professionnelle représente pas moins de 5.1 millions,; aujourd’hui affectés au ménage communal.
Que le MCG aille jusqu'au bout de la démarche : qu'il nous dise donc dans quels domaines les coupes devront s'opérer pour équilibrer le budget et comment le candidat MCG fera pour financer les engagements qu'il a pris.
Pour terminer, la taxe professionnelle est le seul impôt que gère la commune. Le reste des rentrées fiscales n'est qu'une estimation calculée tant bien que mal par le département cantonal des finances et sur lesquelles la commune n'a aucune gestion possible. Ceci n'est pas tolérable, mais c'est un autre débat.
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