J’ai répondu ce matin, 15 mars, à l’invitation de la One Team pour parler de ma candidature au Conseil d’Etat.
Le principe : un édito de 90 secondes, des échanges politiques.
Mon édito pour celles et ceux qui n'acceptent pas la crise politique dans laquelle Genève se trouve : démission d'un Conseiller d'Etat PLE, suivant celle d'un procureur général PLR. Une crise de confiance envers un gouvernement et un parlement à majorité de droite qui ne finissent pas de décevoir les Genevoises et les Genevois.
Mon édito est pour celles et ceux qui souffrent de la crise économique ici à Genève et dans les quartiers populaires, je le vois tous les jours dans ma commune, Vernier.
Mon édito est pour celles et ceux qui ne veulent pas renoncer, face aux inégalités et aux difficultés quotidiennes. Dans ma commune, j'ai initié avec les habitant-e-s cette résistance très pratique : en ouvrant des crèches, en améliorant la sécurité grâce à une stratégie englobant forces de polices, médiateurs de nuit, travailleurs sociaux et habitant-e-s, en retissant les liens sociaux qui ont tendance à s'étioler, en redonnant le pouvoir aux gens à travers les contrats de quartier.
Mon édito est pour celles et ceux qui veulent voir ces principes de cohésion sociale, d'égalité portés au niveau cantonal. Je m'engage à rétablir la confiance dans les institutions par des actions concrètes, rapides et pertinentes. Quatre thèmes m'animent : s'attaquer à la crise du logement par une politique active de l'Etat et par créer une véritable concertation avec les communes ; par des projets structurants pour Genève, des enjeux fondamentaux pour notre avenir : le plan d'agglomération franco-valdo-genevois, le plan directeur cantonal, en panne aujourd'hui ; l'emploi par le soutien à des projets de terrain des communes et des associations ; la jeunesse enfin. Pour la première fois depuis des décennies, il est possible que les jeunes vivent moins bien que leurs parents. Il faut redonner à la jeunesse une place positive et dynamique.
Mon édito est en fait pour les auditrices et les auditeurs de ONE fm, et pour toutes les Genevoises et les Genevois, qui, je le sais, se retrouvent dans ces buts.
Candidature au Conseil d’Etat : mon intervention en direct avec la One Team de OneFM
J’ai répondu ce matin, 15 mars, à l’invitation de la One Team pour parler de ma candidature au Conseil d’Etat.
Le principe : un édito de 90 secondes, des échanges politiques.
Mon édito pour celles et ceux qui n'acceptent pas la crise politique dans laquelle Genève se trouve : démission d'un Conseiller d'Etat PLE, suivant celle d'un procureur général PLR. Une crise de confiance envers un gouvernement et un parlement à majorité de droite qui ne finissent pas de décevoir les Genevoises et les Genevois.
Mon édito est pour celles et ceux qui souffrent de la crise économique ici à Genève et dans les quartiers populaires, je le vois tous les jours dans ma commune, Vernier.
Mon édito est pour celles et ceux qui ne veulent pas renoncer, face aux inégalités et aux difficultés quotidiennes. Dans ma commune, j'ai initié avec les habitant-e-s cette résistance très pratique : en ouvrant des crèches, en améliorant la sécurité grâce à une stratégie englobant forces de polices, médiateurs de nuit, travailleurs sociaux et habitant-e-s, en retissant les liens sociaux qui ont tendance à s'étioler, en redonnant le pouvoir aux gens à travers les contrats de quartier.
Mon édito est pour celles et ceux qui veulent voir ces principes de cohésion sociale, d'égalité portés au niveau cantonal. Je m'engage à rétablir la confiance dans les institutions par des actions concrètes, rapides et pertinentes. Quatre thèmes m'animent : s'attaquer à la crise du logement par une politique active de l'Etat et par créer une véritable concertation avec les communes ; par des projets structurants pour Genève, des enjeux fondamentaux pour notre avenir : le plan d'agglomération franco-valdo-genevois, le plan directeur cantonal, en panne aujourd'hui ; l'emploi par le soutien à des projets de terrain des communes et des associations ; la jeunesse enfin. Pour la première fois depuis des décennies, il est possible que les jeunes vivent moins bien que leurs parents. Il faut redonner à la jeunesse une place positive et dynamique.
Mon édito est en fait pour les auditrices et les auditeurs de ONE fm, et pour toutes les Genevoises et les Genevois, qui, je le sais, se retrouvent dans ces buts.
Retrouvez l’émission ici :
http://www.onefm.ch/portail/#/Actualite/Article/thierry-apotheloz-se-lance-dans-la-course/1925
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