Voici mon édito pour la brochure de présentation de la petite enfance de Vernier :
* * * * *
Pour Vernier, il y a 10 ans, municipaliser le secteur de la petite enfance a été une décision ambitieuse, visionnaire et un acte courageux : un engagement pour une politique familiale active dans un pays où est encore très limitée.
Depuis, cette politique a eu des effets concrets pour des centaines de familles : le nombre de places a augmenté de 177 à 323 entre 2001 et 2012, une capacité d’accueil de plus de 580 enfants.
L’accroissement du nombre de places d’accueil reste une priorité pour la ville de Vernier. C’est pour moi un combat quotidien afin de répondre aux besoins accrus des familles dans l’accueil de leurs enfants. Il s’agit souvent d’une nécessité quasi incontournable pour (re)prendre une activité professionnelle. Les places ont certes un coût, mais il est largement compensé par les gains à long terme pour la société et les ménages.
La politique de la petite enfance est plus qu’une politique d’accueil et de soutien aux familles. En effet, je crois profondément que cette politique contribue à renforcer dans notre société, l’égalité des chances, notamment en permettant aux petits enfants de vivre entourés d’autres enfants de milieux variés. Par la qualité des infrastructures et l’attention soutenue de collaborateurs engagés, la Ville de Vernier entend ainsi contribuer à offrir à chaque enfant l’occasion de faire ses premiers pas dans une société accueillante, solidaire et égalitaire.
Ainsi, par un engagement majeur et concerté, nos enfants peuvent très tôt se familiariser avec les valeurs citoyennes qui, je l’espère, guideront plus tard leur vie d’adulte.
Aujourd’hui c’est un sentiment de fierté qui m’habite. Fierté du travail accompli mais aussi impatience face aux défis qui nous attendent ces prochaines années et que nous allons, j’en suis intimement persuadé, pouvoir relever. Œuvrer pour la citoyenneté, créer le sentiment d’appartenance, le sens des responsabilités et de l’autonomie, c’est au fond devenir un être humain libre. Quoi de plus noble ?
Petite enfance de Vernier : mon édito
Voici mon édito pour la brochure de présentation de la petite enfance de Vernier :
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Pour Vernier, il y a 10 ans, municipaliser le secteur de la petite enfance a été une décision ambitieuse, visionnaire et un acte courageux : un engagement pour une politique familiale active dans un pays où est encore très limitée.
Depuis, cette politique a eu des effets concrets pour des centaines de familles : le nombre de places a augmenté de 177 à 323 entre 2001 et 2012, une capacité d’accueil de plus de 580 enfants.
L’accroissement du nombre de places d’accueil reste une priorité pour la ville de Vernier. C’est pour moi un combat quotidien afin de répondre aux besoins accrus des familles dans l’accueil de leurs enfants. Il s’agit souvent d’une nécessité quasi incontournable pour (re)prendre une activité professionnelle. Les places ont certes un coût, mais il est largement compensé par les gains à long terme pour la société et les ménages.
La politique de la petite enfance est plus qu’une politique d’accueil et de soutien aux familles. En effet, je crois profondément que cette politique contribue à renforcer dans notre société, l’égalité des chances, notamment en permettant aux petits enfants de vivre entourés d’autres enfants de milieux variés. Par la qualité des infrastructures et l’attention soutenue de collaborateurs engagés, la Ville de Vernier entend ainsi contribuer à offrir à chaque enfant l’occasion de faire ses premiers pas dans une société accueillante, solidaire et égalitaire.
Ainsi, par un engagement majeur et concerté, nos enfants peuvent très tôt se familiariser avec les valeurs citoyennes qui, je l’espère, guideront plus tard leur vie d’adulte.
Aujourd’hui c’est un sentiment de fierté qui m’habite. Fierté du travail accompli mais aussi impatience face aux défis qui nous attendent ces prochaines années et que nous allons, j’en suis intimement persuadé, pouvoir relever. Œuvrer pour la citoyenneté, créer le sentiment d’appartenance, le sens des responsabilités et de l’autonomie, c’est au fond devenir un être humain libre. Quoi de plus noble ?
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