Mon édito pour le rapport d’activités 2012 de l’OSEO Genève :
A l’aube de sa première décennie d’activité, l’OSEO-Genève peut être fière de son parcours. Dix ans à peine, et voilà notre structure devenue un acteur clé de l’insertion socioprofessionnelle à Genève. De par son sérieux, son professionnalisme, l’originalité de ses programmes et, surtout, l’engagement sans failles de ses collaboratrices et de ses collaborateurs, l’OSEO-Genève compte aujourd’hui parmi les institutions les plus innovantes et les plus pertinentes dans le traitement des problématiques d’exclusion du marché du travail.
Ainsi, les deux derniers programmes à avoir vu le jour, témoignent de cette ambition à trouver des solutions pragmatiques et efficaces en matière de réinsertion. CT2, tout d’abord, programme gratuit et entièrement financé par des fonds privés, permet à de jeunes diplômés de trouver les clés nécessaires à leurs démarche d’emploi. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes, puisque 88% des participants ont décroché des contrats de travail suite à leur participation au programme. Ensuite, le programme « Prima » constitue également une nouveauté originale, puisqu’il s’agit de la seule structure d’insertion à destination des migrants qualifiés dans leur pays d’origine, et qui peine à faire valoir leurs compétences sur le marché du travail en Suisse. Par un accompagnement personnalisé et par une stratégie d’approche efficiente du marché du travail, il n’est nul doute que ce programme va connaître le succès qu’il mérite.
L’OSEO-Genève, on le voit, n’est plus une association. C’est aujourd’hui une institution.
Elle aide toutes celles et ceux que notre société laisse au bord du chemin à trouver leur place sur un marché du travail toujours plus exigeant et compétitif. Par son action, elle offre aux plus fragilisés d’entre nous la possibilité de se réinsérer professionnellement, de manière efficace et durable.
Mais les récents succès de l’OSEO-Genève ne doivent pas nous faire perdre de vue que nous vivons aujourd’hui une période de crise économique qui touche, d’abord, les plus précaires. L’effort, plus que jamais, doit être soutenu pour parvenir à trouver, pour chacun, la place qu’il mérite dans notre société. La cohésion sociale dans notre canton est à ce prix. Et je sais que je peux compter sur l’OSEO-Genève pour relever ce défi.
Mes derniers mots sont pour l’ensemble de nos collaboratrices et de nos collaborateurs, de notre équipe de direction et les membres – bénévoles – du comité, sans qui rien de tout cela ne serait possible, et dont je sais qu’ils mettent toute leur énergie et leur motivation dans le succès de nos programmes.
Je leur dis à toutes et à tous, aujourd’hui, ma profonde gratitude.
10 ans au-delà de nos espérances
A l’aube de sa première décennie d’activité, l’OSEO-Genève peut être fière de son parcours. Dix ans à peine, et voilà notre structure devenue un acteur clé de l’insertion socioprofessionnelle à Genève. De par son sérieux, son professionnalisme, l’originalité de ses programmes et, surtout, l’engagement sans failles de ses collaboratrices et de ses collaborateurs, l’OSEO-Genève compte aujourd’hui parmi les institutions les plus innovantes et les plus pertinentes dans le traitement des problématiques d’exclusion du marché du travail.
Ainsi, les deux derniers programmes à avoir vu le jour, témoignent de cette ambition à trouver des solutions pragmatiques et efficaces en matière de réinsertion. CT2, tout d’abord, programme gratuit et entièrement financé par des fonds privés, permet à de jeunes diplômés de trouver les clés nécessaires à leurs démarche d’emploi. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes, puisque 88% des participants ont décroché des contrats de travail suite à leur participation au programme. Ensuite, le programme « Prima » constitue également une nouveauté originale, puisqu’il s’agit de la seule structure d’insertion à destination des migrants qualifiés dans leur pays d’origine, et qui peine à faire valoir leurs compétences sur le marché du travail en Suisse. Par un accompagnement personnalisé et par une stratégie d’approche efficiente du marché du travail, il n’est nul doute que ce programme va connaître le succès qu’il mérite.
L’OSEO-Genève, on le voit, n’est plus une association. C’est aujourd’hui une institution.
Elle aide toutes celles et ceux que notre société laisse au bord du chemin à trouver leur place sur un marché du travail toujours plus exigeant et compétitif. Par son action, elle offre aux plus fragilisés d’entre nous la possibilité de se réinsérer professionnellement, de manière efficace et durable.
Mais les récents succès de l’OSEO-Genève ne doivent pas nous faire perdre de vue que nous vivons aujourd’hui une période de crise économique qui touche, d’abord, les plus précaires. L’effort, plus que jamais, doit être soutenu pour parvenir à trouver, pour chacun, la place qu’il mérite dans notre société. La cohésion sociale dans notre canton est à ce prix. Et je sais que je peux compter sur l’OSEO-Genève pour relever ce défi.
Mes derniers mots sont pour l’ensemble de nos collaboratrices et de nos collaborateurs, de notre équipe de direction et les membres – bénévoles – du comité, sans qui rien de tout cela ne serait possible, et dont je sais qu’ils mettent toute leur énergie et leur motivation dans le succès de nos programmes.
Je leur dis à toutes et à tous, aujourd’hui, ma profonde gratitude.
Thierry APOTHELOZ,
Président de l’OSEO Genève
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