L’installation par la régie Cogerim de plusieurs rangées de picots mi-septembre sur les escaliers situés entre les allées 78 et 82 de l’avenue du Lignon, passe très mal et a de quoi choquer. Non seulement auprès des habitantes et des habitants qui ne comprennent pas cette mesure à l’égard de leurs enfants, mais aussi auprès des autorités qui n’ont pas été consultées.
Je considère en tant que Conseiller administratif de la Ville de Vernier que l’installation de ces picots anti-jeunes représente une sérieuse atteinte dans la collaboration jusqu’ici très bonne avec cette régie. Ce dispositif ne règle rien et monte les habitantes et les habitants les uns contre les autres, notamment les jeunes contre les aînés. La défiance qui s’installe avec ces picots entre des jeunes et la Cité qu’ils aiment et qu’ils habitent, détériore le lien social et l’image d’un Lignon qui intègre tous ses résidents. Je ne saurai le tolérer, alors même que toutes les politiques publiques communales visent à recréer des liens dans une des communes les plus populaires du canton de Genève.
La Ville de Vernier n’a pas de pouvoir sur cet espace privé. Mais je ferai tout pour que Cogerim recule et revienne en arrière sur sa décision.
Thierry Apothéloz: « Ces picots anti-jeunes au Lignon sont inadmissibles »
L’installation par la régie Cogerim de plusieurs rangées de picots mi-septembre sur les escaliers situés entre les allées 78 et 82 de l’avenue du Lignon, passe très mal et a de quoi choquer. Non seulement auprès des habitantes et des habitants qui ne comprennent pas cette mesure à l’égard de leurs enfants, mais aussi auprès des autorités qui n’ont pas été consultées.
Je considère en tant que Conseiller administratif de la Ville de Vernier que l’installation de ces picots anti-jeunes représente une sérieuse atteinte dans la collaboration jusqu’ici très bonne avec cette régie. Ce dispositif ne règle rien et monte les habitantes et les habitants les uns contre les autres, notamment les jeunes contre les aînés. La défiance qui s’installe avec ces picots entre des jeunes et la Cité qu’ils aiment et qu’ils habitent, détériore le lien social et l’image d’un Lignon qui intègre tous ses résidents. Je ne saurai le tolérer, alors même que toutes les politiques publiques communales visent à recréer des liens dans une des communes les plus populaires du canton de Genève.
La Ville de Vernier n’a pas de pouvoir sur cet espace privé. Mais je ferai tout pour que Cogerim recule et revienne en arrière sur sa décision.
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